Kerzen (13)
Hier finden Sie alle Gedenkkerzen, die für Sonja Schimek entzündet wurden. Wir laden Sie herzlich ein, selbst eine Kerze mit einer kurzen, persönlichen Nachricht zu hinterlassen.
Gedenkkerze
Deine Mama
Entzündet am 02.04.2025 um 11:01 Uhr
Gedenkkerze
Christine
Entzündet am 27.10.2024 um 17:23 Uhr
10 Wochen, 2 Tage
Wie gestern und doch für alle Ewigkeit
Gedenkkerze
Deine Mama
Entzündet am 27.09.2024 um 11:16 Uhr
7 Wochen ohne Dich.
Eine letzte Berührung, ein letzter Kuss all das liegt 7 Wochen zurück.
Immer wieder Tränen, Herzschmerzen - unendliche Trauer.
Ich trage Dich bei mir mein Herz
Gedenkkerze
Isabel
Entzündet am 31.08.2024 um 23:54 Uhr
Es weht der Wind ein Blatt vom Baum, von vielen Blättern eines. Doch dieses eine Blatt allein, wird fehlen wie sonst keines. Es ist noch immer unbegreiflich & das wird auch so bleiben. Dein Strahlen, dein Lachen, dein Optimismus - Du fehlst.
Gedenkkerze
Famille Perron
Entzündet am 29.08.2024 um 11:36 Uhr
Le matin aux saisons nouvelles Je vais au bord de la Moselle Regarder les oiseaux Ils viennent quand je les appelle Caresser l'eau du bout des ailes Et suivre les bateaux Fatigués, abandonnent Et s'enfoncent dans le ciel Pour aller chercher de l'air plus haut Plus haut que Dieu décida de faire mourir le vent Plus haut que nous ne pourrons aller avant longtemps C'est si loin Loin de moi que mes yeux déçus Aveuglés aux voûtes d'azur Ne les voient plus
Ce matin assis sous le ciel Je pleure au bord de la Moselle Et j'attends les oiseaux On dit que partout c'est pareil Qu'ils sont morts pendant leur sommeil D'avoir volé trop haut Ceux qui s'étaient perdus Ont dû s'en aller si haut Qu'ils se sont brûlés sur le soleil Plus haut que Dieu décida de faire mourir le vent Plus haut que nous ne pourrons aller avant longtemps C'est si loin
Loin de moi que mes yeux déçus Aveuglés aux voûtes d'azur N'y croient plus
(Les Oiseaux, Daniel Balavoine)
Cher Karel, chers Elisabeth, Werner et toute la famille,
nous sommes loin de vous et nous ne pouvons vous prendre dans nos bras pour essayer, ne serait-ce que quelques secondes , bercer votre immense douleur et pleurer avec vous sur cette incroyable injustice.
Sonja nous est apparue l'année dernière comme un rayon de soleil; c'était une grande joie de la recevoir avec Karel. Nous pensions tant partager d'autres moments aussi heureux...
Cher Karel, les mots sont impuissants, nous t'assurons de notre soutien et sache que dans un petit village champenois, il y a toujours une porte ouverte pour t'accueillir.
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